C’est un truc très féminin qui a pris ces aises depuis des décennies maintenant et qui pour tout vous dire est très Frenchy le dénigrement…
Est-ce que vous vous êtes déjà arrêtées deux secondes lors d’une conversation entre filles pour vous rendre compte à quel point c’est presque normal aujourd’hui de se dénigrer, quand ce n’est pas critiquer l’autre mais ça c’est un autre sujet…
On passe notre temps à faire ça sans même nous en rendre compte on se dévalorise à tour de bras, continuellement et tout le monde trouve ça tout à fait normal, personne n’y voit rien à redire, mais FUCK quoi !
Entretenir ce genre de comportement y en a marre !
Pourquoi au lieu d’être perpétuellement dans le négatif ne choisirions nous pas d’être dans le soutien envers nous même, dans l’affectif, dans l’action, l’estime de soi, la confiance en soi et le mérite, pourquoi ne parlons-nous pas VRAI !
Au lieu de dire : « de toute façon je n’y arriverai jamais » ne disons-nous pas là j’ai des difficultés mais avec de l’aide ou un changement de vue je suis sûre que je peux y arriver !
Au lieu de dire : « je suis trop moche, je ne rentrerai jamais là-dedans » ne dirions-nous pas, Je suis une bombe qui mérite de porter des fringues à ma hauteur et si ce jean n’est pas coupé comme il faut pour moi, je ne vois pas pourquoi cela devrait me mettre dans des états pas possibles j’en trouverai un autre qui sera fait pour moi, BASTA !
Au lieu de dire : « de toute façon je finirai seule, qui voudrait de moi ! » ne dirions-nous pas, je me sens seule en ce moment mais je garde l’espoir d’être aimée autant que je me considère et me respecte, c’est-à-dire à me juste valeur !
Ce ne sont que quelques exemples, mais je trouve que toute notre éducation est à refaire de ce point de vue-là, soyez douces avec vous-même, soyez tendre, soyez positive, soyez vraies et sincères, arrêtez de vous battre contre qui vous êtes, ce que vous êtes, c’est si fatiguant !
Le débat est ouvert…
Je crois même que je risque d’en faire une vidéo bien dans mes baskets, si ça vous dit, parce que là, ça suffit !
Je vous bisouille,
Emilie